Mercredi 7 sort le numéro de novembre du magazine Première.

Marketing oblige, deux couvertures sont proposées pour le même contenu :

- soit vous choisissez la couverture Twilight, avec Robeeert avec son expression habituelle, qui met en avant les articles sur la fin de la saga,

- soit vous choisissez Martin Freeman en Bilbo, couverture qui met en avant un reportage dans les coulisses du tournage.

Soit un faux saigneur ou un vrai Seigneur.

De la bit lit ou de la fantasy.

StephEnie Meyer ou JRR Tolkien.

Les vampires végétariens ou les hobbits bons vivants.

Voir d'autres captures et le sommaire du numéro sur le site de Première.

En tout cas, j'aime bien le jeu de mots qui fait le parallèle entre les deux couvs.

Perso, j'ai fait mon choix depuis loooongtemps donc pas d'hésitation mercredi (il y a un message caché dans cette phraaaase) :-)

Ca faisait longtemps, la revoilà : la RDP !

Cette semaine la presse people française se concentre sur le futur de quelques membres du Twicast.

Ainsi, dans une spéciale bac (l'article de circonstance), on apprend que Taylor Lautner a décidé de développer une partie de son anatomie autre que ses muscles, en reprenant ses études :

Nikki Reed s'est fiancée !

Et Robert Pattinson & Kristen Stewart ont fait un shooting ensemble, vantant les dérives de l'alcoolisme festif & autres joyeusetés - ah non pardon, on me signale dans l'oreillette qu'il s'agit d'une photo backstage des MTV Movie Awards !

Emma avait donc vu juste ;-)

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Ce mois-ci, le magazine américain YRB a rencontré Kellan Lutz pour un shooting photo mais aussi pour une interview vérité. Le jeune homme aborde la Saga Twilight, son personnage Emmett, le métier d'acteur, celui de mannequin, sa complicité avec les fans. Morceaux choisis ...

"Il est une des choses que je vois chez Emmett et que je retrouve en moi. Je vois juste cette personne joviale, mais il doit être le protecteur, et j’étais comme ça avec ma famille en grandissant. J’ai plusieurs frères, donc je dois être là pour ma famille. Mais, là encore, je ne laisse que peu de place à des choses qui pourraient me dérouter ; je n’aime pas être stressé dans mon existence et je ne pense pas que j’aurais joué un super Edward. Je pense que Rob [Pattinson] le fait de manière époustouflante. Ils ont besoin de quelqu’un comme Rob pour donner à Edward une certaine profondeur sans en faire des tonnes. And j’aime mon personnage à mort. Jamais, je ne renoncerais à Emmett – et peu importe le nombre de répliques, peu importe si je suis numéro sur la feuille d’appel – je l’aimerais jusqu’à la mort, et j’aimerais le jouer encore pour 10 autres films."

"Je ne pense qu’aucun d’entre nous ne savait [à quel point le phénomène serait énorme]. Nous avons tous croisé les doigts et espéré le meilleur parce que chacun veut faire partie d’une franchise."

" J’aime les fans. Plus on est de fous, plus on s’amuse. Vraiment, j’en profite ; je suis une personne sociable, je suis plus qu’extraverti. Il y a toujours des trucs fous comme les fans qui pensent que je ne suis pas réel, qui veulent me tacler ou m’offrent des menottes et veulent me ramener à la maison, [mais], tout ça c’est de l’amour. Il y a toujours un groupe rigolo de Twimoms ou de Twihards, particulièrement autour du monde qui m’apprend de nouvelles choses et je peux découvrir de nouvelles personnalités. C’est génial."

"A ce stade de ma carrière, j’aime les films d’action et je veux vraiment devenir une référence dans le cercle des acteurs d’action américains. Je pense vraiment que l’industrie manque de héros d’action américains, particulièrement cette nouvelle génération. Je pense que Matt Damon a réellement capitalisé sur ça et j’aimerais être la prochaine star des films d’action de la nouvelle génération."

"Le métier d’acteur m’a donné un nom donc c’est toujours sympa de revenir de le monde de l’impression, qui reste la photographie et qui vend toujours un produit par l’image. C’est vraiment bizarre et j’ai été confronté à ça dans un certain nombre d’occasions. Le monde pense que les mannequins sont stupides […] que les modèles sont justes des « gueules ». La vérité c’est que le mannequinat c’est aussi une carrière. Le mannequinat c’est aussi un métier difficile, beaucoup de choses entrent en jeu, comme le métier d’acteur. Ce n’est pas justes des étoiles et des confetti ; tout n’est pas glamour."

Source

Un special thanks à Mister D. pour son aide dans la trad' ! ^^

Cette semaine, Madame Figaro revient sur l'actrice du moment : Kristen Stewart. Qu'elle soit portée aux nues par ses fans ou décriée par ses détracteurs, l'interprète de Bella Swan reste une énigme dans le Tout Hollywood ... Retour sur le phénomène ...

Rebelle tendance tourmentée, la Bella de Twilight vampirise le box-office avec son visage d’ange. Rockeuse glam dans Les Runaways ou prostituée SDF dans Welcome To The Rileys, cette antistar n’a peur de rien. Attention, talent !

1 – Parce qu’elle détrône toutes les autres teenage stars
A 21 ans, Kristen a déjà un C.V de douanière et l’air blasé de celle qui a tout vu en ce bas monde. Les ados rêvent de lui ressembler et dupliquent son look gothique et son allure coolissime. Une vingtaine de films, des débuts à 12 ans dans Panic Room, bon présage : tout lui sourit. En conséquence, elle ne montre jamais les dents. Contrairement aux sémillantes Anne Hataway ou Emma Watson, baby stars prometteuses, Kristen a compris qu’un état d’esprit désenchanté et un style less is more lui permettraient d’atteindre les sommets du box-office. Astucieux.

2 – Parce qu’elle une fashion girl décalée
Ses intuitions vestimentaires sont suivies par des milliers de fans tétanisées. Elle ne suit pas la mode, puisque c’est elle qui lance les tendances. Un jour rappeuse chic avec sweat à capuche, le lendemain pom-pom girl régressive en minishort en jean et marcel framboise, elle sait se montrer à une soirée du MET en sexy robe du soir à filets SM, qui fera beaucoup jaser. Ses yeux fardés où l’eye-liner bave en cernes sur les paupières inférieures, façon fin de party, semblent avoir inspiré les maquilleurs de podium. Entre la punk attitude et le revival années 50, Miss Stewart annexe tous les registres. Vertigineux.

3 – Parce que sa vie privée est secret-défense
Kristen possède un joker quand on l’interroge sur ses love-stories. Elle évoque l’acteur Michael Anganaro, assez inconnu au bataillon, avec qui elle formerait un couple sans histoire. En réalité, on ne les aperçoit jamais ensemble. Mais tout le monde sait qu’entre elle et Robert Pattinson, son partenaire dans la Saga Twilight, l’affaire est torride. Récemment, au talk-show d’Oprah Winfrey, le vampire hype lâcha, pince-sans-rire, que Kristen était enceinte de lui. Du lard ou du cochon ? Toujours est-il que leur complicité, leur mimétisme et leur accord charnel ont été constatés par tous ceux qui les ont approchés. Sur le plateau de Twilight, ces deux-là s’entretiennent en tête à tpete après le cut. Ils aiment la musique accoustique, jouent ensemble de la guitare, en plus si affinités …

4 – Parce que Meryl Streep est son modèle
Elle ne veut pas devenir Marilyn ou Madonna. Non, l’ambitieuse petite dame admire Meryl Streep, celle qui passe de l’univers de Virginia Woolf à celui de William Styron sans effets spéciaux, par la seule grâce de son talent. Du coup, elle se fiche de se montrer négligée, enlaidie, vieille ou en loques. Dans son dernier opus, Welcome To The Rileys, un road-movie indépendant, elle campe avec une sensibilité saisissante et sans make-up le rôle d’une sans-abri qui se prostitue pour survivre. Fragile, vulnérable, petite silhouette perdue, elle fait preuve d’une formidable crédibilité. Cette ambitieuse vise un Oscar et pourrait bien l’obtenir.

5 – Parce qu’elle est naturellement trash
Kristen n’a pas besoin de forcer la note. Son univers mental est rimbaldien, tendance Velvet Underground. Elle taquine la guitare sèche, compose, rédige un journal intime où le spleen tient la vedette et elle affectionne les grands tourmentés de la littérature américaine, de Henry Miller à Norman Mailer. Dans Into The Wild, Sean Penn lui offre une partition de petite hippie triste à la Joni Mitchell. Et sa composition de la très déjantée Joan Jett, icône rock, dans Les Runaways, confirme la piste dark. Elle rêve d’écrire un jour un roman, et rien ne l’empêchera de passer à l’acte.

6 – Parce qu’elle dénonce le star-système
Elle est tombée dans la marmite arty quand elle était petite. Née à Los Angeles d’un père producteur à la Fox et d’une mère scénariste, Kristen a toujours eu la vocation. Elle aime jouer. Ce qui lui pèse, c’est le service après-vente. En interview, elle a l’air d’être en garde à vue, esquive toutes les questions et finit systématiquement par confier qu’elle n’est pas spécialement fière de ce qu’elle a accompli. Insatisfaite, cérébrale et introvertie, son aversion pour les paparazzis (qui, en effet, ne la lâchent pas) la conduit à adopter une Garbo attitude qui pourrait la desservir à long terme.

7 – Parce qu’elle fait des choix audacieux
Pour la jeunesse planétaire, elle incarne l’idéal romantique d’une génération : l’humaine trop humaine Bella Swan amoureuse d’un dandy vampire de 104 ans. Mais Stewart veut déglinguer son image lisse. Alors que le chapitre IV, Révélation, va clore la saga crépusculaire, elle opte déjà pour des scripts périlleux et des contre-emplois casse-gueule. La rencontre professionnelle déterminante a eu lieu quand Sean Penn en personne lui demanda d’incarner un petit rôle dans Into The Wild. Elle parle d’une révélation, d’un déclic. Le bad boy du cinéma d’auteur est tout aussi élogieux quand il évoque sa performance. C’est dans ce registre cinématographique du roman culte de la Beat Generation. Sur la Route de Jack Kerouac, c’est Kristen qui conduit.

8 – Parce qu’elle n’est pas addict à la gloire
Dans une société qui vibre sur Facebook, s’ennivre de gossip sur la Toile et de mini scandales, Kristen est une atypique : elle semble appartenir à une autre époque. La notoriété ? Elle s’en fout. Paranoïaque, inspirée, dark et anticonformiste, même si elle connaît suffisamment les codes 2010 pour les déjouer. Cette petite lady a tout compris des jeux de rôle de la nouvelle aristocratie hollywoodienne, celle des antistars.

Source Photo

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La rentrée de la RDP ou la RDP de la rentrée, c'est selon.

On commence par le cultissime Voici qui nous apprend que Robert Pattinson a succombé à la folie du ... banjo :

Closer reprend dans son dossier spécial "personnel de stars qui balancent" des propos qu'aurait tenu un des assistants du même Pattinson :

Ce n'est pas la semaine de la rumeur 'he's gay', c'est celle la rumeur 'bête de sexe'.

Bon, d'après le mag US Hollywood Life il serait aussi 'fou de jalousie'  quant aux scènes sexouelles entre sa supposée girlfriend Kristen et Viggo Mortensen, au point de squatter en permancence sur les lieux du tournage de On The Road. Mais moi aussi suis jalouse voyons, qu'est-ce qu'elle fricote l'autre avec MON Viggo hein ? ^^ (bon je dois reconnaître que sur la photo d'illustration de l'article d'HL il est jeune, le torse fringuant, mais il s'est bonifié avec l'âge, bande de médisantes :-D) 

Plus loin, le magazine présente la nouvelle campagne de la marque Chenson, intitulée Temptation, avec pomme, côté soft mais finalement suggestif, et tout et tout :

Le magazine Public lui n'a pas peur des paradoxes.

S'il évoque le classement des vedettes de Twilight dans le top 50 des mecs les plus sexy de l'année par Glamour UK :

... on peut voir dans les pages de ce même numéro un Rob dans son mauvais jour, loiiiiiiin de mériter cette première place !   

Alors, beau ou beauf ? ou les deux ?

Culture, le même Voici (culte je vous dis ! ^^) évoque la sortie en dvd de Thirst, de Park Chan-Wook, présenté en compétition officielle à Cannes :

Tandis que Public revient sur la vampire mania dans un article sur la série Supernatural : 

Terminons cette RDP par un peu de loisirs culturels, Ashley Greene et RPattz squattent les mots fléchés gagnants de Voici (je vous ai aidés, un peu :-D ) :